dimanche 4 décembre 2011

Hélène Mandroux, présidente des villes universitaires

La ville de Montpellier n'est pas seulement connue plus ou moins partout dans le monde pour son système de trams et de parkings, elle ne tient pas seulement la première place dans le palmarès des villes où les Français ont envie de vivre, et elle n'est pas seulement nommée la Capitale française de la biodiversité - en plus de tous ces honneurs, son maire est aussi la Présidente de l’Association des Villes Universitaires Françaises (AVUF).
 
Il est vrai que les étudiants se sentent bien à Montpellier - ce n'est pas pour rien que Montpellier tient la troisième place dans le palmarès des villes étudiantes. Ainsi, ce n'était que naturel que la ville près de la Méditerranée a été choisie pour accueillir le "Cycle de colloques Européens" traitant du rôle des villes dans l'Europe universitaire auquel une centaine de représentants de la France et l'Europe ont participé.
 
Ainsi, on a discuté sur la nature des relations entre les universités et les territoires. L'AVUF a constaté que, dans les dernières années, les villes ont largement investi dans les universités et qu'il serait temps de se rendre compte de l'impact de ces investissements sur l'économie locale. Les représentants des villes étudiantes étaient d'accord que la réputation de l'université d'une ville "déteint" sur celle de la ville elle-même.
 
À la fin de la rencontre, les membres de l'Association des Villes Universitaires de France ont décidé en unanimité que Hélène Mandroux, maire de Montpellier, mérite de rester la présidente de l'association pour les trois ans à venir.
Texte : copyright 2011, Doris Kneller

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